Happy International Women’s Day! To celebrate, the super-spectacular photographer JiJi (my wife) is offering a very special promotion of her acclaimed work! (Click to find out more.) | Joyeuse journée internationale de la femme! (Cliquez pour en savoir plus.) |
The reed above is the experimental reed described in a previous post (). This one is not one of the good reeds that separate, but it gives the best pictures.(Click on a picture for a bigger size.) Its opening looks very wide open, but if the blades did not separate, perhaps it would be just right. Because it is made with an oboe d’amore shape on a huge oboe staple, it is difficult to know if the separation is due to curvy cane or if there is a pivot causing it. At any rate, there are no leaks as the binding is just right: when I put the reed in my lips, the separation closes and the seal is excellent. | L’anche ci-dessus est l’anche expérimentale décrite dans un article passé (). Elle ne compte pas parmi les bonnes anches qui séparent, mais elle donne les plus belles photos. (Cliquez sur une image pour la voir en plus grand.) L’ouverture paraît très grande, mais si les lames ne séparaient pas, elle serait peut-être juste bonne. Puisqu’elle est taillée pour hautbois d’amour et attachée sur un très gros tube pour hautbois, il devient difficile à savoir si la séparation est causée par un roseau courbé où s’il s’agit d’un pivot. Dans tous les cas, aucune fuite d’air une fois entre mes lèvres. |
Weather! Effects on Opening Hot, humid summer days tend to open reeds and exaggerate the separation, but the blades keep their nice curved aperture. This makes the crow much lower notes, but not necessarily harsher. So both tuning and stability are really compromised. Dry cold days tend to flatten the blades’ aperture but the reed also tends to close. Apart from making the reed buzz, stability just goes crazy. The pitch can be good, but dynamics become really restricted. Oddly, it does not help close separation at all. | Météo! effets sur l’ouverture Le temps chaud et humide tend à ouvrir les anches et à exagérer leur séparation, mais les lames comme telles gardent leur courbure. Leur cri donne des notes bien plus basses, mais pas nécessairement plus rauque. Par conséquent, la justesse et la stabilité en sont fort compromises. Le temps froid et sec tend à applatir le bout des lames et fermer l’ouverture. À part rendre le son très nazillard, la stabilité part en peur. Le centre de justesse peut être bonne, mais les nuances sont grandement restreintes. Étrangement, le sec ne semble pas réduire la séparation. |
Opening, Separation and Embouchure One can imagine that separating blades and open reeds mean a firmer embouchure is required and the mouth gets tired faster. However, I have found that fatigue in the lips usually comes with reeds that don’t crow the lower tones: they don’t preserve their harshness evenly as I crescendo/diminuendo. This is usually the case with reeds that close too much in the back (or simply of poor cane). My good reeds that open and separate (the reed pictured above might become one if I work on it) keep an evenly harsh crow. When well soaked, they will close after a few minutes warming-up and then play well for as long as I can play. | Ouverture, séparation et embouchure On peut imaginer que la séparation des lames et les anches ouvertes exigent une embouchure plus dûre et fatigue la gueule plus vite. En fait, j’ai trouvé que la fatigue vient avec les anches qui ne crient pas les notes graves ou qui ne gardent ps leur aspect rauque avec les nuances. C’est habituellement le cas des anches trop fermées en arrière (où simplement de roseau inadéquat). Mes bonnes anches qui séparent (l’anche ci-dessus pourrait en devenir une si je la travaille) gardent un son rauque constant en les faisant crier. Lorsque bien trempées, elles ferment après quelques minutes de réchauffement et jouent bien pour le reste de ma répétition. |
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